| | Un renard ou un chacal ? « Uccen neɣ abareɣ ? »Cliquer sur le lienhttps://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=AgJUDdrzcV4#at=10Dans cet hôtel situé à la porte du quartier du Marais, ma nuit en ce début de mois de mars est d’un calme apaisant sous le temps doux et agréable d’un printemps précoce. L’heure indique 04h :30 du matin. L’aube citadine typiquement parisienne me fait penser...
|
| | Je vous souhaite une très bonne et heureuse année 2011 et je vous envoie mes meilleurs vœux remplis de bonheur!
Des cogitations abracadabrantes :
La nuit du jeudi 16 décembre, j’ai rencontré mon ami David. Au début, nous avons assisté au ballet de son frère, Sébastien Ly, le chorégraphe de la troupe Kerman. Les improvisations sont présentées dans le monde du graphisme en l’occurrence celui de Soizic Stokvis...
|
| | Parler, se taire je suis comme le vent qui souffle pour personne dans le désert et le touareg qui le traverse, sans lui répondre le pauvre vent dont les mots ne prennent jamais forme réelle seulement des hhhhou et des ssssssuuu et le vent qui vient perdre son souffle au bout des terres connues, là où l'air ne continue pas parler ? se taire ? peut-être le silence est-il supérieur à la parole peut-être fallait-il effectivement éviter cette grande illusion de mes mots, prêts à te noyer comme des flammes bleutées sortant du soleil tout d'un...
|
| | Azul, Concernant les sujets «sensibles», Yessis n Teryel semblent délier les langues «chez les Brobros»...Pourvu que ça dure... Si vous voulez participer à l'écriture interactive d'un roman d'amour en kabyle, et imaginer une suite aux amours adolescents de Loundja, allez sur le lien suivant. Vous pouvez également participer au chat sur l'amour kabyle qui s'y trouve... Reste à savoir si les «Brobros» pouvaient aller au-delà du romantisme à l'eau-de-rose des Loundja et cie,...
|
| | Un bol d’air au lac (2):Je passe la passerelle donnant accès à l’île de Bercy. Juste à quelques mètres, je m’assois au dessous de niveau de la passerelle dans cet endroit où le soleil et l’ombre s’entremêlent en raison des feuillées d’un pin gigantesque. J’ouvre mon sac pour déguster ma deuxième banane. Trois jeunes filles sur leur barque...
|
| | Un bol d’air au lac : (1) Pour ma promenade d’aujourd’hui, je rentre à la superette pour faire quelques achats : une bouteille d’eau fraîche et quelques fruits. Je vais prendre l’air au lac Daumesnil. Son accès principal est l’avenue François Fresneau. Celui-ci est l’ingénieur qui a découvert, en 1747, l’arbre mystérieux si longtemps recherché,...
|
| | Sous le déluge et dans la puanteur: Après mon congé annuel, le jour de la reprise, j’arrive à l’hôtel. Mon ami est à l’accueil. Son sourire illumine notre amitié de longue date et accueille mon retour à bras ouvert. Au même moment, le directeur de l’hôtel descend l’escalier. Sa sympathie authentique rajoute à nos échanges une touche affectueuse. Dans une atmosphère bienveillante, je me rends compte du plaisir de travailler dans l’ambiance agréable et la bonne humeur. J’en profite pour offrir des cadeaux : à mon ami des...
|
| | Voici une aude à la femme universelle, et plus particulièrement à la femme kabyle, à laquelle on fait croire à longueure de journée, que sa raison d'être est d'enfanter, de donner du plaisir à son mari, de faire reluire la maisonet, d'assouvir les instincts esclavagistes de sa belle-mère...
Mon ange, cesse de me dire que nous sommes jumeaux
Je rampe à même le sol et tu déploies tes ailes
Deux X composent tes chromosomes sexuels
Un X et un Y précisent mes défauts
Mon ange, cesse de me dire que nous sommes pareil
|
| | L'île des sentiments Il était une fois une île sur laquelle vivaient tous les sentiments et toutes les valeurs humaines : la Bonne humeur, la Tristesse, la Sagesse... ainsi que tous les autres, y compris l’Amour. Un jour, on annonça que l’île allait être submergée. Alors tous préparèrent leurs embarcations et s’enfuirent....
|
| | ulacitt, anda-kem?
a tin rrigh, nud'agh-kem, d tmura, 3ac-qagh-kem.
t-neg-rad', cad'-hagh-kem, tugid'-iyi, ttargugh-kem.
akma-fegh, ssaramagh-kem, ad'ef-nugh, s-neg-regh-kem.
a tin h'amlagh, ulacikem, akem-nadigh, anda-kem?
W.
PS: a yiflis, corrigi-yid ma tes-tufad'. Tanemmirt.
|
| |
Je visite de temps à autre le site de l’association tamazgha. J’ai un peu fureté et là oh surprise, inspiration, je me lance pourquoi pas, je clique sur prénom berbères. Je n’attend pas d’enfant ne vous inquiétez pas !!! Hop, prénoms féminins, comme ça, total hasard, tu ne me crois pas ? Ben tu as raison.
On m’a rafraîchi la mémoire, nous berbères, aimons beaucoup imager, imaginer. Nous aimons énormément la lumière, le soleil, les étoiles, la lune. Juste comme ça, juste pour expliquer à tout ceux qui veulent nous bander les...
|
| | Les Vingt cinq unités de bonheur :
Cet après midi-là, je suis rentré, chez moi, pour me reposer. Une vague de sommeil me submerge et je m’allonge en ayant à l’esprit que j’ai un rendez-vous, aujourd’hui, avec mes collègues du mastère de management de projet. Evidement, je suis toujours ravi de les revoir. Chacun d’eux a un talent particulier. Ils seraient, toutes et tous, des actrices et acteurs de légende. L’année s’est déroulée comme un film ensorcelant, que j’intitulerais naturellement : « La rencontre des maîtres ». Ils ont un métier qui fait rêver et...
|
| | Message effacé et utilisateur banni. Louisa Admin
|
| | Le mur de la liberté :
Ce récit est l’un des souvenirs de ma colline lointaine. Je ne suis pas rentré chez moi depuis six interminables années. Je découvre le travail de nuit comme veilleur où les rencontres avec des personnages atypiques dans ce petit hôtel parisien. La relecture fréquente de mon journal garde soigneusement mes aventures en mémoire. Le texte suivant est mon sentiment lors de la prise d’otage de la gendarmerie dans mon village natal au printemps 2001. A l’opposée des années précédentes, cette fois-ci,...
|
| | MARAGHNA….
A quelques heures d’ici En terre de Kabylie Reposent mes regrets Et dorment mes secrets….
Terre de nostalgie Tu gardes en tes tombeaux Mes souvenirs enfouis Et mes jours les plus beaux….
A toi qui se riait De mon accent français Un jour tu es partie Il ne se peut d’oubli….
Ameziane petit frère Les lâches t’ont fait taire Légère te soit la terre Comme nos rires d’hier….
Des anciens au bon sens J’ai retenu la science J’ai appris leur langage
|
| | Morne jour que ce dimanche pluvieux Week-end de mai vide et triste Week-end de merde et qui insiste Dans sa démesure et son sérieux. Mes amis sont avec leurs femmes Et mes amies avec leurs enfants. Moi, seule au monde en cet instant M’entoure d’idées noires, de bleus à l’âme.
|
| | Un soir en rêve, J'ai rencontré Jugurtha qui dans une cellule parlait de son idéal, une unité qu'on appelerait TAMAZGHA et qui de son combat serait le résultat final.
Près de lui, son alter ego : Jean AMROUCHE, qui me racontait son identité guettée, son identité berbère plusieurs fois millénaire.
N'aies donc crainte pour ta langue, car tu le disais toi meme Jean, "la culture se moque du savoir technique".
Il existe en nous tous une étoile secrète qui nous de permet de nous rattacher à ... ... NOUS-MÊMES.
Tel le poète qui ne peut...
|
| | La bénédiction fraîche de la prostituée :
Bonjour les anges ;
La position assise à la réception de mon lieu de travail me fait penser à un voyage que j’ai fait à Amsterdam en 2006. A travers la vitrine en face de l’accueil, mon regard se nourrit de la sympathie échangée, de temps à autre, avec les passants dans la rue. La sérénité ambiante m’invite fréquemment à des rêveries lointaines. Mes pensées regagnent la réception dès l’arrivée ou la sortie de clients.
Dans ce voyage, j’ai accompagné mon amie pour assister à son séminaire intitulé...
|
| | Hommage à SelwaUn homme ou une femmeCe jour-là, j’ai reçu mon ami et son neveu à l’accueil de l’hôtel où je travaille. Mon ami est de Bretagne. Son neveu est étudiant en Alsace. Nous étions en train de discuter sur plusieurs sujets : le site de notre village natal « Ighil Ali » http://www.ighilali.net/ , la présence des Ottomans en Algérie dans l’histoire,…etc. Je suis en service à l’hôtel mais ça ne m’empêche pas de participer au débat...
|
| | Teryel Yemess N dounit ou Teryel mère divine
A l’image de ces rêves délicieux décrits par une femme divine, je me sentais exalté par les miens. Je voyais cette femme habillée en robe tressée de grappe de Jacinthe Noire. Son habit m’intriguait au point de semer en moi le mystère. Parmi le petit monde autour de moi, il y avait ceux qui disaient qu’elle n’est plus parmi nous ; d’autres sont plus méditatifs, ils disaient qu’elle vit parmi nous. Elle avait la plume trempée en encre miraculeuse. Les bienfaits de cette encre sont semblables à ceux de l’eau. C’était le liquide...
|