Le RCD a décidé de ne pas participer aux prochaines présidentielles algériennes et de se mettre au frais.
Le FFS, en mode spasmes depuis fort longtemps, ne participent pas non plus à la mascarade de Boutef.
Les 2 ont mis de l'avant presque un seul et même argument: la nouvelle constitution octroierait trop de prérogatives au président.
Aucun des 2 n'a relevé ni n'a protesté contre cet amendement ci-bas qui vient remettre en cause le maigre acquis de la précédente constittion alg. qui reconnaissait tamazight langue nationale, pas même le MAK:
Article 12 : l'article 178 de la Constitution est amendé et reformulé comme suit:
Art. 178: Toute révision constitutionnelle ne peut porter atteinte:
1. au caractère républicain de l'Etat,
2. à l'ordre démocratique, basé sur le multipartisme,
3. à l'islam, en tant que religion de l'Etat,
4. à l'arabe, comme langue nationale et officielle,
5. aux libertés fondamentales, aux droits de l'homme et du citoyen,
6. à l'intégrité et à l'unité du territoire national,
7. à l'emblème national et à l'hymne national en tant que symboles de la Révolution et de la République.
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