Bouteflika a introduit, entre autres amendements, dans la constitution algérienne:
Art.31 bis- L'Etat œuvre à la promotion des droits politiques de la femme en augmentant ses chances d'accès à la représentation dans les assemblées élues.
Les modalités d'application de cet article sont fixées par la loi organique.
Pendant que l'État algérien refuse tout amendement du code de la famille, dans un sens progressiste et plus égalitaire pour les femmes, qu'il bloque toute tentative sérieuse au sein du conseil contre les discriminations envers les femmes au sein de l'ONU, je me pose la question s'il faut en pleurer ou en rire.
Ceci dit, la seule lecture à donner à cet amendement est que le pouvoir compte se donner les moyens légaux de promouvoir le quota des putains de la république.
Vive les futures Khalida!
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